Bonne fête de pentecôte à tous

Lorsque arriva la fête de la Pentecôte, ils étaient tous réunis. Un bruit soudain se fit entendre dans le ciel, comme une violente rafale, et il remplit toute la maison où ils se trouvaient. Ils virent comme un feu qui se divisait, et sur chacun d’eux se posait une des langues de ce feu. Tous furent remplis de l’Esprit Saint et ils se mirent à parler en d’autres langues dans lesquelles l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Il y avait alors à Jérusalem des Juifs de passage, des croyants venus de toutes les nations qui sont sous le ciel. Et ces gens, quel que soit leur dialecte, les entendirent s’exprimer dans leur propre langue, car le bruit qui s’était produit avait attiré la foule. Ils n’en revenaient pas !
Ils étaient stupéfaits, étonnés : “Ce sont tous des Galiléens, disaient-ils, et voyez comme ils parlent ! Chacun de nous les entend s’exprimer dans sa propre langue. Que nous soyons Parthes ou Mèdes ou Élamites, habitants de Mésopotamie, de Judée ou de Cappadoce, du Pont et de l’Asie, de Phrygie et de Pamphylie, d’Égypte ou de la Libye en allant sur Cyrène, que nous soyons des Juifs installés à Rome ou des prosélytes, des Crétois ou des Arabes, nous les entendons proclamer dans nos diverses langues les merveilles de Dieu !”

Un roi selon le cœur Dieu

Moi l’éternel je ferai de l’Israël mon peuple et je leur donnerai un roi selon mon cœur. je serai leur Dieu et eux seront mon peuple.

Seigneur donne nous un roi ton cœur et donne nous nous serons le peuple que tu a tend désiré.
donne nous la sagesse de choisir un bon dirigeant le 25 Avril prochain pour l’accomplissement de ta parole. Que la paix de dieu tout puissant vienne sur la le Togo et y demeure à jamais. Amen

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PAPE FRANÇOIS

MÉDITATION MATINALE EN LA CHAPELLE DE LA
MAISON SAINTE-MARTHE

Mardi 3 février 2015

(L’Osservatore Romano, Édition hebdomadaire n° 7 du 12 février 2015)

L’Évangile à portée de main

Lire chaque jour une page de l’Evangile pendant «dix, quinze minutes et pas plus», en gardant «le regard fixé sur Jésus» pour «m’imaginer dans la scène et parler avec lui, comme mon cœur me le suggère»: telles sont les caractéristiques de la «prière de contemplation», véritable source d’espérance pour notre vie. Dans la première lecture, «l’auteur de la Lettre aux Hébreux (12, 1-4) rappelle la mémoire des premiers jours après la conversion, après la rencontre avec Jésus, et il rappelle aussi la mémoire de nos pères: “Combien ils ont souffert, quand ils sont partis sur le chemin”». Mais aujourd’hui, «l’auteur de la Lettre parle de l’autre référence, c’est-à-dire de l’espérance». Ensuite «il explique ce qu’est précisément le noyau de l’espérance: “garder le regard fixé sur Jésus”». Voilà le point: «si nous n’avons pas notre regard fixé sur Jésus, difficilement nous pouvons avoir l’espérance». Peut-être «pouvons-nous avoir de l’optimisme, être positifs, mais l’espérance?». Du reste, «l’espérance ne s’apprend qu’en regardant Jésus, en contemplant Jésus; elle s’apprend avec la prière de contemplation». Le Pape a également posé une question: «Mais toi, fais-tu la prière de contemplation?». Une interrogation peut-être un peu surprenante, au point que quelqu’un pourrait dire: «Qu’est-ce que c’est, père? Comment est cette prière? Comment la fait-on?». La réponse est claire: «On ne peut la faire qu’avec l’Evangile à la main». Concrètement, «tu prends l’Evangile, tu choisis un passage, tu le lis une fois, tu le lis deux fois; imagine-le, comme si tu voyais ce qui arrive et contemple Jésus». Pour donner une indication pratique, le Pape a pris comme exemple précisément le passage de l’Evangile de Marc (5, 21-43) proposé par la liturgie, qui «nous enseigne tant de belles choses». En partant de cette page, il a demandé: «Comment dois-je procéder dans la contemplation avec l’Evangile d’aujourd’hui?». Et, partageant son expérience personnelle, il a proposé une première réflexion: «Je vois que Jésus était parmi la foule, autour de lui il y avait beaucoup de foule. A cinq reprises ce passage cite la parole “foule”. Mais Jésus ne se reposait pas? Je pourrais penser: toujours avec la foule! La plus grande partie de la vie de Jésus s’est déroulée dans la rue, avec la foule. Mais il ne se reposait pas? Oui, une fois: l’Evangile dit qu’il dormait sur la barque, mais la tempête est arrivée et les disciples l’ont réveillé. Jésus était sans cesse parmi la foule». C’est pourquoi, «on regarde Jésus ainsi, on contemple Jésus ainsi, je m’imagine Jésus ainsi. Et je dis à Jésus ce qu’il me vient à l’esprit de lui dire». Le récit évangélique atteint son sommet avec «la résurrection de la petite fille». Et Jésus, «au lieu de dire: “En avant Dieu!”, leur dit: “S’il vous plaît, donnez-lui à manger”». Car Jésus «a toujours les petits détails à l’esprit». «Ce que j’ai fait avec cet Evangile est précisément la prière de la contemplation: prendre l’Evangile, lire et s’imaginer soi-même dans la scène, m’imaginer ce qui arrive et parler avec Jésus, comme le cœur me le suggère». Et «avec cela nous faisons croître l’espérance, car nous gardons le regard fixé sur Jésus». D’où la proposition: «Faites cette prière de contemplation». Et même si l’on est très affairé, on peut toujours trouver le temps, ne serait-ce que quinze minutes à la maison: «Prends l’Evangile, un petit passage, imagine ce qui est arrivé et parle avec Jésus de cela». Ainsi, «ton regard sera fixé sur Jésus, et non plus sur le feuilleton télévisé, par exemple; ton ouïe sera fixée sur les paroles de Jésus et non sur les bavardages du voisin, de la voisine». «La prière de contemplation nous aide dans l’espérance» et nous enseigne à «vivre de la substance de l’Evangile». C’est pourquoi il faut «toujours prier: réciter les prières, réciter le chapelet, parler avec le Seigneur, mais aussi faire cette prière de contemplation pour garder notre regard fixé sur Jésus». C’est de là que «vient l’espérance». Et ainsi «notre vie chrétienne évolue dans ce cadre, entre mémoire et espérance: la mémoire de tous le chemin passé, la mémoire des nombreuses grâces reçues du Seigneur; et l’espérance, en regardant le Seigneur, qui est le seul qui peut me donner l’espérance». Et «pour regarder le Seigneur, pour connaître le Seigneur, prenons l’Evangile et faisons cette prière de contemplation».

les vrais Apôtre de Jésus font comme lui

11 L’homme ne quittait pas Pierre et Jean, si bien que tout le peuple accourut et se retrouva autour d’eux au Portique de Salomon, incapable de dire un mot.
•12Alors Pierre s’adressa au peuple : “Hommes d’Israël, cela vous étonne ? Vous nous regardez comme si nous avions un pouvoir pour faire marcher cet homme, ou comme si nous étions des saints.
13 Mais non, c’est le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob qui vient de glorifier Jésus, son serviteur. Vous l’avez livré, et quand Pilate voulait le relâcher, vous l’avez renié.  14 Vous avez demandé la grâce d’un assassin et vous avez renié le juste, le saint.  15 Celui que vous avez tué était le Prince de la vie, et Dieu l’a relevé d’entre les morts : nous en sommes les témoins.  16 Voyez ce que peut la foi en son Nom : son Nom vient de remettre sur pied cet homme que vous voyez et que vous connaissez. La foi qui s’appuie sur Jésus lui a rendu la santé sous vos yeux à tous.pierre12

gil  Mes chers amis je vous aime et voici mot de réconfort: bonne journée à tous.

 

CETTE HISTOIRE EST L’UNE DES PLUS BELLES LEÇONS DE VIE…

Un médecin est entré a l’hôpital dans la hâte après avoir été appelé pour une chirurgie urgente. Il a
répondu à l’appel, a changé dès que possible ses vêtements et est allé directement au bloc de chirurgie. La, Il trouve le père du garçon qui fait des vas et vient dans le hall. En voyant le médecin arriver, le papa hurla : « Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne savez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n’avez pas le sens de responsabilité » ?

Le médecin sourit et dit : « Je suis désolé, je n’étais pas dans l’hôpital et je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l’appel…… Et maintenant, je souhaite que vous vous calmez pour que je puisse faire mon travail »

« Me calmer ? et si c’était votre fils vous calmeriez vous ? Si votre propre fils meurt maintenant que ferez vous » ? dit le père avec colère
Le médecin souri encore et répondit : « Je dirai.. De la poussière nous sommes venus et poussière nous retournerons, béni soit le nom de Dieu. Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies. Allez et intercédez pour votre fils, nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu »

« Donner conseil quand nous ne sommes pas concernés c’est si facile » Murmura le père.

La chirurgie a pris quelques heures après lesquelles le médecin sorti heureux, « Merci Dieu ! Votre fils est épargné, Si vous avez n’importe quelle question, demandez a l’infirmière ! »
« Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour que je me renseigne sur l’état de mon fils » A Commenté le père en voyant l’infirmière après que le médecin soit partit.

L’infirmière répondit, les larmes.. descendant son visage : « Son fils est mort hier dans un accident de route, il était a l’enterrement quand nous l’avons appelé pour la chirurgie de votre fils. Et maintenant qu’il a épargné la vie de votre fils, il est parti courir pour finir l’enterrement de son fils ».

Ne JAMAIS JUGER PERSONNE parce que vous ne savez pas ce qu’elle traverse en ce moment.

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Le Jeudi saint pour les chrétiens du monde

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La dernière Cène
17 Le premier jour des Pains sans Levain, les disciples vinrent demander à Jésus : “Où mangeras-tu la Pâque ? Où veux-tu que nous la préparions ?”  18 Il leur dit : “Allez à la ville, chez un tel, et dites-lui : Le Maître te fait dire : Mon heure est proche, je veux faire la Pâque chez toi avec mes disciples.”
19 Les disciples firent comme Jésus l’avait ordonné et ils préparèrent la Pâque.  20 Le soir venu, Jésus se mit à table avec les Douze et,  21 pendant qu’ils mangeaient, il leur dit : “En vérité je vous le dis, l’un de vous va me livrer.”
22 Ils en étaient profondément peinés et chacun se mit à lui demander : “Ce serait moi, Seigneur ?”  23 Et lui leur dit : “La main du traître était avec la mienne, prenant du même plat !  24 Le Fils de l’Homme s’en va comme l’Écriture le dit de lui, mais malheur à cet homme par qui le Fils de l’Homme est livré. Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né.”
25 Judas prit également la parole : “Ce serait moi, Seigneur ?” Et Jésus répondit : “Tu l’as dit.”

Serviteur Persécuté

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                  Le Seigneur Yahvé m’a formé,

                pour que je parle comme son disciple,

                que je sache soutenir celui qui est épuisé.

                Dès le matin il réveille mon attention

                pour que j’écoute comme fait un disciple.

                Le Seigneur Yahvé m’a ouvert l’oreille

                et je ne m’y suis pas refusé,

                je n’ai pas reculé.

                J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient,

                mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe,

                je n’ai pas dérobé mon visage aux insultes, aux crachats.

                Le Seigneur Yahvé est de mon côté,

                et les insultes ne me touchent pas ;

                aussi je garde un visage de pierre,

                je sais que je n’aurai pas à rougir.

Le Seigneur Yahvé m’a formé,
pour que je parle comme son disciple,
que je sache soutenir celui qui est épuisé.
Dès le matin il réveille mon attention
pour que j’écoute comme fait un disciple.

Le Seigneur Yahvé m’a ouvert l’oreille
et je ne m’y suis pas refusé,
je n’ai pas reculé.
J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient,
mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe,
je n’ai pas dérobé mon visage aux insultes, aux crachats.

Le Seigneur Yahvé est de mon côté,
et les insultes ne me touchent pas ;
aussi je garde un visage de pierre,
je sais que je n’aurai pas à rougir.